Jeudi 13.04.23. 18h20
Dans le métro, encore…
D’ailleurs, j’ai décidé de ne plus me plaindre de mes trajets en commun pour aller bosser et de voir le bon côté des choses :
- J’ai un titre de transport qui me permet de me déplacer sans contraintes.
- J’ai un boulot qui me permet de vivre confortablement et de payer mes factures sans stress.
- Durant mes nombreux trajets, je peux faire tout un tas de trucs sympa, notamment écrire mes petites chroniques simplement.
Toujours est-il (j’adore cette expression, t’as remarqué ?), je n’ai pas sorti mon téléphone pour parler de mes trajets et de tout ce qui s’ensuit. J’avais plutôt en tête d’écrire sur mon ressenti actuel et sur les bienfaits de ma thérapie en -ure-.
Cette thérapie, je l’ai mise au po int en Mai 2018, après mon premier presque burn out. À l’époque, j’animais plusieurs groupes que j’avais créés sur WhatsApp ; je me débattais avec un boulot que je détestais et à côté de ça, j’essayais de liquider de mauvaises dettes qui m’empêchaient de dormir. Bref, je craquait !
La seule solution que j’ai trouvé à l’époque, à été de mettre mes projets et contrariétés en sourdine pour me focaliser sur des activités qui me font du bien :
- Lecture
- Écriture
- Couture
- Balade dans la nature
C’est ce que j’appelle « mes activités en -ure-« .
Et ce que j’ai découvert par pur hasard, c’est qu’en pratiquant chacune de ces activités de manière régulière, je me sentais mieux ! Mais genre beaucoup mieux !
C’était décidé, j’avais créé la thérapie dont j’avais besoin !
Pour en revenir à ce que je racontais, il y a presque deux mois (après que j’ai décidé d’arrêter L’histoire d’une Fainéante, le 22.02.23), j’ai décidé de suivre cette thérapie pour me requinquer. Et sérieusement, grand bien m’en a fait !
Une semaine après le début de cette thérapie du bonheur, j’ai commencé à me sentir plus légère, plus sereine et plus confiante, bizarrement…
Comme quoi, parfois il suffit de s’écouter, de s’arrêter et de laisser les choses se faire…
La suite au prochain épisode !
A+